Salut Internet !
J’avais envie d’écrire sur la campagne Cocakhenaton (avec un mois de retard…) tant l’association des deux était, sur moi, aussi efficacement émétique qu’un cassoulet melba. Comme beaucoup, j’avais envie de crier à la trahison, au baissage de froc, à l’ultime compromission, etc. Mais, pour être tout à fait franc, je n’ai jamais été fan ni de IAM ni d’Akhenaton. J’ai toujours trouvé ça trop mou et trop cryptique. Je trouvais donc un peu facile de rager sur ce que je n’ai jamais aimé et d’abreuver le fil de mon cynisme jubilatoire, histoire d’exposer à la face du monde mon rire condescendant, moi qui savais.
Puis… Lire la suite