Une larme s’étend sur la surface plane de ses joues. Aucune aspérité pour dévier cette manifestation triste. Rien pour l’empêcher d’atteindre cette commissure penchée. Le sel de cette larme est un léger réconfort. Le goût de la tragédie. Pourtant, malgré les circonstances, rien n’appelle vraiment l’âme à se morfondre. Après tout, Joseph n’est maintenant plus qu’un mort parmi d’autres. Et ce n’est pas tout ce décorum mortuaire qui va y changer grand-chose.
